NOTRE BUT : CONSTRUIRE UNE MATERNITÉ A SANDIARA
Sandiara est le village le plus important et peut-être un des plus anciens de la Communauté Rurale qui porte le même nom, elle-même divisée en plusieurs villages.
On y trouve plusieurs infrastructures : un dispensaire, des commerces, un cybercafé, des transports grâce à une nationale mais celles-ci demeurent sommaires et malheureusement insuffisantes.
Référence médicale au sein de la Communauté Rurale, le village ne peut toutefois accueillir que très peu de femmes enceintes arrivées à terme de leur maternité : une unique salle d’accouchement, une charrette en guise d’ambulance et une seule sage-femme, parfois aidée d’une « matrone ». Une désorganisation et une prise d’assaut du dispensaire qui engendrent des accouchements douloureux et intolérables pour des femmes apeurées, mères parfois pour la première fois.
C’est en mesurant le réel besoin non pas du seul village mais de tout le Djéguème que l’association a pensé à construire une maternité. Malgré l’aide des autorités administratives, la localité peine à entreprendre une mission sanitaire, à envisager d’autres structures de soins pédiatriques, quasiment inexistantes malgré quelques modestes points d’accueil. A travers cette maternité, l’idée de mettre en place un centre pouvant recevoir des nourrissons accompagnés de leurs mères en situation d’allaitement précaire, leur proposer des soins médicaux et des dépistages. Il s’agira de faire de ce lieu un pôle social afin de mieux sensibiliser les habitantes.
Le terrain dont dispose l’Association se situe au Nord-Ouest de la Communauté Rurale, en périphérie du village de Sandiara, position des plus intéressantes pour l’ouverture qu’elle permet sur l’ensemble des villages.
Malgré quelques contraintes, la construction au Sénégal est beaucoup moins stricte qu’en France, aucun permis de construire n’est exigé, ce qui permet à l’architecte du projet, Cécile Gineste, de réellement pouvoir se concentrer sur la conception et l’édification du bâtiment, sur son esthétique, empreinte des deux cultures, sur son organisation et sur le choix de matériaux locaux devant être fiables, sûrs et peu coûteux, s’inscrivant dans une démarche environnementale.
Une fois le projet construit et mis en place, l’association fera don de la maternité à l’état Sénégalais. Il s’agit d’une procédure courante dans la réalisation de ce type de projet, car bien que l’état n’ai pas les moyens nécessaire d’investir pour ce type de projet, il peut se permettre de rémunérer le personnel pour le faire vivre.
Sandiara est le village le plus important et peut-être un des plus anciens de la Communauté Rurale qui porte le même nom, elle-même divisée en plusieurs villages.
On y trouve plusieurs infrastructures : un dispensaire, des commerces, un cybercafé, des transports grâce à une nationale mais celles-ci demeurent sommaires et malheureusement insuffisantes.
Référence médicale au sein de la Communauté Rurale, le village ne peut toutefois accueillir que très peu de femmes enceintes arrivées à terme de leur maternité : une unique salle d’accouchement, une charrette en guise d’ambulance et une seule sage-femme, parfois aidée d’une « matrone ». Une désorganisation et une prise d’assaut du dispensaire qui engendrent des accouchements douloureux et intolérables pour des femmes apeurées, mères parfois pour la première fois.
C’est en mesurant le réel besoin non pas du seul village mais de tout le Djéguème que l’association a pensé à construire une maternité. Malgré l’aide des autorités administratives, la localité peine à entreprendre une mission sanitaire, à envisager d’autres structures de soins pédiatriques, quasiment inexistantes malgré quelques modestes points d’accueil. A travers cette maternité, l’idée de mettre en place un centre pouvant recevoir des nourrissons accompagnés de leurs mères en situation d’allaitement précaire, leur proposer des soins médicaux et des dépistages. Il s’agira de faire de ce lieu un pôle social afin de mieux sensibiliser les habitantes.
Le terrain dont dispose l’Association se situe au Nord-Ouest de la Communauté Rurale, en périphérie du village de Sandiara, position des plus intéressantes pour l’ouverture qu’elle permet sur l’ensemble des villages.
Malgré quelques contraintes, la construction au Sénégal est beaucoup moins stricte qu’en France, aucun permis de construire n’est exigé, ce qui permet à l’architecte du projet, Cécile Gineste, de réellement pouvoir se concentrer sur la conception et l’édification du bâtiment, sur son esthétique, empreinte des deux cultures, sur son organisation et sur le choix de matériaux locaux devant être fiables, sûrs et peu coûteux, s’inscrivant dans une démarche environnementale.
Une fois le projet construit et mis en place, l’association fera don de la maternité à l’état Sénégalais. Il s’agit d’une procédure courante dans la réalisation de ce type de projet, car bien que l’état n’ai pas les moyens nécessaire d’investir pour ce type de projet, il peut se permettre de rémunérer le personnel pour le faire vivre.